Désenvoutements et Exorcismes
Désenvouter et exorciser : ce sont deux actes que j’effectue en consultation et qui ont trait à la magie blanche. DÉSENVOUTER consiste simplement à défaire un sort de sorcellerie grâce à des incantations, l’Exorcisme quant à lui je le place à un cran de plus de difficulté car cela consiste à faire face à des entités négatives qui possèdent une personne, un objet ou un lieu.
Les actes de désenvoutement et d’exorcisme contrecarrent la conséquence d’actes de magie noire et de sorcellerie. La sorcellerie ne se limite pas au milieu rural ni aux pays africains, c’est pourquoi les médiums comme moi sont sollicités pour effectuer des rituelles de désenvoutement et d’exorcisme. Les individus se tournent vers le désenvoutement et l’exorcisme lorsque ne trouvant plus d’autres explications à leurs maux ils ressentent que leur intégrité physique ou leur bien-être peut être menacé.
Les jalousies sont souvent le point de départ des rites d’envoûtement, il s’agit de nouements d’aiguillette, de retours d’affection et tout autre mauvais sort tendant à rendre plus faible, à fragiliser à appauvrir à rendre plus agressif moins pertinent, moins percutant , plus fatigué ou plus malade la personne sur qui on opère un mauvais sort. Je me dois de préciser que même le retour d’affection fait partie des sorts de magie noire car cela consiste à contraindre une personne à revenir amoureusement parlant. Ceci est très négatif car cela engendre de très mauvaises ondes. Je n’opère jamais de magie noire car cela ne correspond en aucune façon à ma ligne de conduite par contre je sais parfaitement les enlever grâce à mes flashs et incantations cela nécessite un minimum d’une demi-heure de travail de même pour l’exorcisme.
Quelles sont les différences qui existent entre désenvoutement et exorcisme ? C’est très simple : un désenvoutement est une opération qui consiste à ôter un sort destiné à induire un préjudice sur une personne. L’exorcisme se différencie du désenvoutement dans la mesure où celui-ci consiste dans l’action de « purification », de « nettoyage » en ôtant la présence d’entités démoniaques. Le désenvoutement consiste à ôter une opération de sorcellerie, l’exorcisme ôte une « infestation démoniaque », une « possession ».
Comment reconnaître un cas de possession ? L’Eglise qui à la base était seule à pouvoir mettre en place des exorcismes jusqu’en 1904, date à laquelle les médiums furent autorisés affirme que les démons ont vraiment le pouvoir de posséder ou d’obséder les corps des hommes comme celui des objets matériels.
La possession est le phénomène par lequel le démon envahit le corps d’un homme et en prend le contrôle. Les deux éléments fondamentaux de la possession sont:
– La présence d’un ou plusieurs démon(s) dans sa victime.
– Le commandement « despotique » du démon sur elle.
L’infestation est la présence d’un démon dans un objet matériel. Les personnes qui souffrent d’une possession sont appelées : énergumènes, obsédés, démoniaques ou possédés. On a affaire à un exorcisme lorsque l’Église ou le médium demande, avec son autorité, au nom de Jésus, qu’une personne ou un objet soit protégé contre l’emprise du Malin et soustrait à son empire. Sous sa forme simple, il est pratiqué lors de la célébration du Baptême. L’exorcisme solennel, appelé grand exorcisme, ne peut être pratiqué que par un prêtre ou un médium de confession catholique ayant suivi un enseignement sur ce sujet.
Quels sont les différents genres de possession ? On peut classifier les cas de possession en quatre groupes, suivant deux critères : le consentement de la personne et son état de grâce. La plupart des cas de possession quoiqu’il en soit proviennent de cérémonies occultes : spiritisme et rituels sataniques.
1er cas : La victime est en état de grâce et consent à la possession.
C’est un cas assez rare, mais qui est rapporté par certains exorcistes. Il arrive que Dieu donne à certaines âmes la possibilité de souffrir jusque dans leur corps la présence d’un démon pour pouvoir affermir leur désir d’aimer Dieu et de renoncer au péché. On connaît le cas, au XIXème siècle, du Père Surin qui fut possédé par un démon alors même qu’il réalisait un exorcisme ; ses mémoires, en ce sens, ont été très précieuses pour montrer que le démon n’a en fait aucune influence directe sur la volonté de sa victime. Il ne fait que susciter des tentations… Mais il ne faut pas confondre ce cas avec celui des âmes qui s’offrent à Dieu comme « victime d’oblation » pour le salut des âmes (Ste Thérèse de Lisieux, Marthe Robin,…). Il peut aussi arriver dans certains cas que le démon s’en prenne à des personnes avec acharnement à cause du bien qu’ils font au monde : Le saint curé d’Ars et le Padre Pio avaient l’habitude de se battre « physiquement » contre le démon durant des nuits entières. Et il n’était pas rare qu’ils apparaissent le matin tout couverts de contusions… et que dans la journée un grand pécheur vienne se confesser.
2ème cas : La victime est en état de grâce, mais ne consent pas à la possession.
Ce cas, que l’on trouve dans l’Evangile (le jeune homme possédé depuis l’enfance Mt 17.14-21), est peut-être plus fréquent qu’on ne le pense. Il est difficile à comprendre car il nous semble, à première vue, assez injuste… « Qu’a donc fait cette personne de mal pour mériter une telle souffrance ? ». La foi nous apprend cependant que Dieu n’est pas la cause du mal et qu’il n’accepte un mal que pour en faire sortir un plus grand bien. On a vu en effet des familles entières revenir à la foi et aux sacrements grâce à ce genre d’épreuve.
Ce cas se produit rarement, pour ne pas dire jamais, dans les personnes qui ont une profonde vie spirituelle. Certains exorcistes indiquent que cela peut se passer quand le rituel du baptême a été tronqué du cérémonial d’exorcisme, par négligence ou présomption.
3ème cas : La victime n’est pas en état de grâce, mais n’est pas pour autant consentante à la possession.
Il s’agit en fait d’un châtiment de Dieu dû à un enracinement profond dans le domaine de l’obscur, du mal, (de ce que les croyants nomment le pêché) que ce soit dans cette vie ou dans une incarnation passée.
Dans ces trois cas de possession, c’est là qu’un médium tel que moi peut intervenir ainsi que dans tous les cas où des sors divers et variés maléfiques sont jetés et mettent en péril la santé mentale ou psychique d’une personne ou son intégrité de quelque mesure que ce soit.
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